De l’eau a coulé sous les ponts et le jour où il s’y est intéressé, la première fois, ce n’était pas grand-chose encore. D’ailleurs, Nicolas Sarbacher l’a rencontrée un peu par hasard, dans le sillage d’un frangin très jeune passionné de basket alors que lui était « plus foot et athlé ».
Ainsi, le gamin a signé sa première licence à la SIG en 1976 parce que finalement, c’était bien pratique de juste avoir à traverser la rue pour retrouver les copains.
Le bon profil, au bon endroit, au bon moment
« Ensuite, on a commencé à écumer les championnats de jeunes », souligne-t-il. « Et on s’est mis à tout gagner. On avait une bonne génération et surtout une super ambiance entre nous. »
Penda…